vendredi 5 juin 2015

Cosma Shiva





Je n'ai d'étroit que l'isthme où de ton île usions
de ce méat cool pas et de ton air frigide,
afin de tout confondre en une dilution,
ton grand sourire et tes doux baisers rigides.

Or, si plus rien ne bouge à part ta deutsche langue,
je voudrais composer en touchant sur tes dents,
l'ivoire et l'alphabet sans défense et Fritz Lang,
et Micha le Maudit te serait dépendant.

Mon temps composerait celui de tes silences ;
Montand regarderait sortir de son placard
les abominations de minuit moins le quart.

Et du bonheur coupé en quatre et bivalence,
on puiserait la source infiniment pérenne
où larvée ta Beauté s'hexagone enfin reine.

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