Bon rêve ayons pour des lendemains qui t'enchantent et pour des papillons qu'on démasque haut les cœurs en oubliant la pandémie vile et méchante
Il faudra n'enterrer que les corps pas les mots pas les morts essoufflés dont on fit la liqueur en oubliant les liens qu'on sculpte au chalumeau
Le bruit s'entend des pas dont nous traînons les rôles en étant sous la pluie des moments dégoûtés mais que nous trépanons d'un cerveau sans mémoire où les sentiments se sont trouvés déboutés
Je suis l'atome atone égrenant tes paroles attentif à l'accent dont je sais l'entonnoir et dont j'aime aussi bien l'ironie le cynisme un rêve ayons dans un salvateur égoïsme
Je suis mort sur le chemin de la destinée qui serpente entre tes reins comme une frontière étant morsure et venin ton sang m'est inné
L'amour improbable est une ondée passagère et certains contre lui déploient un parapluie qui ne cache rien de ta beauté véligère
On t'appelle Roxane et ton cœur est celui qu'alexandrins les grands de fantasmes nourrissent alors qu'ils ne sont qu'un hymen en gestation dans un ventre imagé que les années pourrissent
Et pourquoi Cyrano ? LA REPRÉSENTATION ! Nous sommes des poupées dans une maison close et notre scène à nous, moins la prostitution c'est de pondre en parlant la plus jolie des choses
Je recherchais en toi la destinée fatale le chemin que poursuit ma quête incontinente au sein d'un interstice intercontinental
En ton monde infini dont la sphère aliénante étirait dans l'instant mon espace vital une étreinte assurait ma faillite imminente
En quelques tremblements qu'on enterre en des lits j'ai volé dans des cieux dépourvus de verrous de l'espèce en danger jusqu'en Terre Adélie qu'en bon bandit manchot j'ai perdu « c'est vers ou ? »
C'est vers toi vois-tu que s'évertuent ces vertus qu'on visse au crucifix de l'amour exclusif et que ton univers — au moins t'en sers-tu ? — sertit sa chaîne aux pieds d'un poème allusif
Que serais-je et saurais-je en n'étant que vacant si je ne sais de moi que des bribes d'émoi ? Tout glacier qui s'effondre est un père abdiquant
Quand on fond que sait-on des névés qui larmoient ? Dans le cycle de l'eau d'un dernier mohican les fleuves de larme ont une source et c'est moi
Je tombe alors en pluie sur un saule pleureur et mon chapeau de bras sur ton cou délicat remet à la bonne heure un cœur en mal d'horreurs et de la Poésie ta langue en reliquat
Je pépite en ta peau la rousseur attendue pourléchant de ton sel une épice affadie poursuivant d'arc en ciel l'écriture invaincue la saveur ineffable où mon verbe est acquis
Je plonge en ton regard et dans son vert Iroise immergeant mon désir au plus profond de toi noyant mon âme usée que l'eau salée nettoie
Balançant des marées quand ces regards se croisent on entend d'eux bruisser la mélodie des vagues et l'écho de l'amour où la raison divague
À chaque épanchement tes sentiments m'inondent à chacun ses récits dont les vents vagabondent et dont les passagers fabricants de nos rêves ont pris de notre espace un peu de ceux des grèves
Un embrun de liqueur extraite à tes beaux yeux sans racine où l'absinthe amarine un reflet s'est posé sur ma lèvre et son goût giroflée m'intoxique agrément d'un navire audacieux
Je revenais en pluie dans ta mémoire acqueuse et mouillais mes pinceaux d'un clignement de cils attendu de tes yeux comme on marque un essai
L'encre est un sang qui coule irriguant laiteuse une presse avide et sa justice imbécile es-tu le papillon de la mue que j'essaie ?
La lumière éperdue sur le grain de ta peau révèle en pellicule un fantasme ébloui par un bleu qui rougit quand on berne un drapeau par un regard en bouche et sa trace évanouie
Nous étions bien planqués là de l'autre côté De l'autre côté las de Méditerranée Dix ans durant de cet aveuglement bourgeois La décennie noire est à notre œil un non-choix
Ta beauté coule en moi viscosité d'un miel et se fond au palais tout aussi lentement dont la pièce a la face enrobée d'arc-en-ciel
Est-ce un premier hymen à la robe de sang crois-moi mon bel amour est un long puits sans fond dans lequel abonde une musique sans fin
Ce monde m'a meurtri d'éclats de Poésie tant il s'était poudré sans fard abandonné sans phare à surveiller dont la sourde amnésie m'amène à faire un tri dans l'ombre des données
J'ai la plume bretonne et l'hermine irritée j'ai l'histoire en otage et j'ai le sang bouillant je suis un celte impur au cerveau résistant pleurant ce que les pluies ont omis de mouiller
Le soleil arrosait le balcon de mes vœux (ramper en paix par un parapet rend peureux) tandis qu'en se laissant aller à la paresse
— Était-ce la peau tendue de la poétesse ? — elle étalait le parchemin de mes non-dits du verbe en gestation d'un poème assourdi
J'aimerais dire un jour à l'écho de ma vie : "me voici ton reflet je suis rien tu es belle" et dans les clapotis de mon amour pour Elle entendre un pépiement ludique inassouvi
Le soleil arrosait son visage en laissant des éclats mordorés dont la rouille et le sel éclairaient d'un grand feu les yeux opalescents qui cherchaient à dénouer mes intimes ficelles
J'essayais d'accrocher son bleu regard au mur imperméable et froid de mes nuits cinéphiles afin de n'en garder que la bobine et le fil
Et le film ainsi mu et la pièce ainsi tue martelaient le beau rôle à l'actrice in situ le choix moi me restait : la corde ou le bromure
On peut rêver de cieux peinturlurés d'azur et pourtant rien ne vaut ce regard inédit que tu me tendais comme une tasse en brisure Oh non ! l'acquis n'est rien à ce que l'inné dit
Tout ce que le puits sans fond d'un amour éteint fut à la volonté de vivre absolument se trouve à la façon d'un service en étain dans le volcan figé d'un ménage en tourment
J'arroserai de verbe un parterre en partant pour te plaire emportant mes plus belles grimaces et les deux mots d'amour que conserve le temps
J'araserai d'un trait les bleues fumigations d'un cadavre embaumant l'écrit par contumace où tout auteur absent s'encense et sans sanction
Chaque nuit me semble une absolue catharsis et chaque rêve étrangle une vie mal apprise à te chercher sans cesse au reflet des narcisses et des printemps dénués des serments que l'on brise
Or bruissons doucement dans le feuillage ouvert afin de grandir en paix sous les frondaisons de notre arbrisseau généalogique offert entre une ronce et l'objet de nos déraisons
Lorsqu'en t'écrivant l'encre afflue je sais qu'il pleut qu'on pourra me maudire et que je n'en ai cure : en ville on a jazzé sur nos comportements
Rien ne saurait mieux dire à mes pensées du Bleu que l'infini profond de ton regard obscur au sein duquel il est urgent de me plonger
Nous mouillons le maillot sans désir apparent rejetant de nous deux l'idée fausse aux orties mais en nage amoureux nous aimons le danger — perle à rebours au doigt dont on fait le décompte
Où qu'on en soit de ma démunition sortie d'une plume ou d'un flingue armé d'un silencieux j'écrirai toujours afin que mes mots racontent à ton cœur ce que ta beauté chante à mes yeux
Quand au creux de ses vers un peu de ton essence
a d'un calice ouvert extrait la renaissance
on voit son cœur offert en guise de trophée
Quant à remettre aux fers une âme apostrophée
laisse au choix l'enfer ou l'infâme esclavage
et le chant possédé de la femme au rivage
Épanche aussi sec une intarissable soif
étanche à ce sexe inexpressif et rugueux
que ta beauté remplace irriguant de son bief
un moulin sur parole et mes mots de guingois
Vide enfin de la place un obscur importun
que déesse adorée tu n'aies plus qu'un seul homme
effeuillant ta corolle en te parlant d'amour
et des grains mordorés de ce sable incertain
L'éclair griffait la nuit de ses doigts affectueux
mais l'accélération de sa lacération
te scarifiait la peau de son métal onctueux
Que l'orage à présent dépèce à l’hallali
le corps de notre amour et sa déréliction
mon cœur est en grisaille un nuage sali
Nous randonnions en rang d'oignons dans les égouts
de luxe où confinés les raffinements crûrent
infiniment plus vite et bien qu'un champignon
qui t'hallucine à t'incarner en ce qu'ils crurent
Et transpirant la terre exorcise une ondée
rigole un nom de ru dont je repars empli
dévale et puis démonte un plateau sans pignon
déchaîne et montre enfin tout mon retard en pluie
Damnée somme d'années nos saisons se bousculent
empruntant vers l'hiver une route trop courte
allant de notre aurore à notre crépuscule
Entre les deux le corps balance et s'évertue
d'aimer trop aimant mal émancipé du temps
qui pourtant le rattrape autant que ces vers tuent
Vicieusement le jour avance en faux-fuyant
grattant les arpégés de son compte-à-rebours
au gré des traits tirés par l'archet de nos rides
et par l'épuisement des printemps s'effeuillant
Mais dans les moissons drues blondissant au soleil
il faut du coquelicot les tâches de sang
les floraisons d'été sont des cœurs endettés
le cri de désespoir et l'agonie d'amour
Fleur de pavot fleur de pavé fleur de pas vu
pas pris par la patrouille on te renifle on flaire
en ton parfum le doux poison de l'imprévu
Sur les chemins de croix sur les chemins de fer
et les décorations de ces apparats chics
on décalcomanie le verbe à peine offert
En le cueillant rosé sur ta bouche grenat
j'ai pu décomposer ton numéro d'artiste
et retirer la chevrotine et la grenaille
incrustées dans tes yeux comme des améthystes
En vérité je t'enlaidis tu es ma belle
expulsée de mes visions tu me descends balle
antimoine excommunié je t'ai rêvée svelte
en ce trèfle où butine un papillon d'asphalte
J'aime embrasser la nuit sur les Bouches du rêve
embarrasser d'idées le delta du désir
et bâtir un barrage aux confins de l'envie
Dans ces baisers de plomb le poison sert d’appât
ta langue est de mer et tes petits seins deux îles
ignorant d'un trait ce que ma pointe dura
Du pays de ta peau j'ai défait tout empire
étirant mes déliés sur ce doux palimpseste
évitant du bélier qui confine à l'inceste
une identité qui n'est que geôle où croupir
Aujourd'hui libéré de la carte en bataille
où sommeil est angoisse où la veille est défi
je m'inscris lentement dans ta ligne de cœur
Écrivain, ma plume est le fruit de vos entailles
J'ai laissé ma dérive épuisée me guider
sur le chaud méridien de ta moelle épinière
et froissé sur ta nuque une belle orchidée
L'art a cinématographié ton réceptacle
où le nectar embaume et ta corolle enceinte
enferme enfin bien mieux qu'un noyau cellulaire
Il m'a suffit de ton regard afin de fondre
ainsi qu'une poupée de cire à l'horizon
qu'un ciel éclaire en ne pouvant que nous confondre
ensemble à l'océan de notre déraison
Le galbe délicat de ton mollet gainé
promet ton élégance au cœur de mon désir
et d'un feu minéral l'éclat de ton sourire
éclaire au plus profond le puits de mes années
J'irai larguer les amarres des astres auxquels je me suis entravé
privé de voyages
encalminé
dans des havres de guerre
aux veilleurs marmoréens
qui font payer du passé le passage
et de l'avenir l'agrément
pour nos entrefilets et nos trop vieux gréements.
J'irai chercher l'éclatement
des bois les plus rares
et des automnes chatoyants
dans des regards brûlants
et des sèves de curare
issues des buissons d'euphorbe sauvage
ou des reliquats de sève aux essences enivrantes.
Et grisé par la mine au crayon du destin
je glisserai sur l'onde et ses interférences
écoutant les vibrations végétales
écoutant bruisser les feuillages
et grincer les tissus en croissance
écartelant les parois des alvéoles
et les fibres élastiques et turgescentes
élargissant les troncs puissants des grands ancêtres
Encore éminemment présents dans la coque
et dans l'âme inhérente au bâtiment.
Concentriques à la façon des ronds dans l'eau
le xylème a fait ses cernes
aux yeux des matelots
qu'il protège
une longue et détendue bouée
que l'on lit dans le fil du bois
comme une partition saisonnière
aux notes accrochées comme des tons de couleurs à la lignine
aux ligneurs et leurs thons pendus sous les gaules
à la ligne où le point s'est tendu pour laisser couler l'écriture
où l'encre et l'ancre ont pris la même ampleur
et la même profondeur.
Un élan vital emplit l'ensemble
un vent gonfle aussi les voiles
un sentiment d'inéluctable envie met ce corps en mouvement
je me sens repousser mes limites
on se sent repousser passée la taille
et forcir en largeur
en épaisseur
en consistance
en maturité
je ressens l'allégresse assagie de la sérénité rendue
mon vaisseau retrouvé conduit ma sève à l'état brut
élaborant des plans d'odyssées tardives essentielles
Ulysse irlandais qu'alimente un nouveau Xylème
écrivain breton sans papiers mais que l'exil aime.
M'étant laissé longtemps polluer
par les regards et les visages
et par les tâches de rousseur
enflammant les regards d'azur
il a fallu qu'un jour enfin
j'éteigne en moi la dictature
iconophile et féminine
assujettissant ma raison
Rêver ma muse ah ça m'amuse
et d'amour l'idée m'énamoure
en caracolant loin des corps
et loin des fleurs de chloroquine
on a bien cru m'avoir perdu
mais c'était sans me décompter
des morts-vivants de série B
s'abrutissant du sens commun
Je me retrouve enfin sans gants
dans l'brouhaha d'un cœur qui bat
tel un vieux fret entre les cordes
un drôl' de ring qui m'a sonné
me répercute un air à gares
un uppercut en pleine foi
qui me rappelle au sentiment
définissant mon éréthisme
Petite plante annuelle il est temps de mourir
on fleurit au printemps mais la sève est fugace
et toute l'énergie s'est rangée dans nos graines
à présent parsemées sur les champs de demain
Monte un peu non sans mal au nadir un pauvre astre
et dans sa course folle une année chaque jour
un baiser du soleil a suffit pour t'ouvrir
a suffit pour tourner ta corolle à sa flamme
Un pistil est pastel ignorant la migraine
en partant l'état mien n'était pas un désastre
et pourtant l'étamine est un mot qui m'agace
À la fin me couchant sous l'horizon des mers
un public ébahi m'applaudit des deux mains
je m'achève en pluie tel un nuage essoré
Le virus est ici dans ta bouche où j'expire
on se rend dans la tombe où la peur nous convie
l'hôpital éperdu croule de lits perdus
je bégaie je bégaie ma béquille est en moi
J'ai mes mots dans la pluie qui s'abat sur l'epp'lé
j'ai mes maux dans la plaie qui s'abat sur la plèbe
et le sentiment se récolte au revolver
et les morts en caissons dans nos yeux s'accumulent
On dira du virus un paquet de conn'ries
mais en face de lui le riche est un mendiant
puissions-nous de concert oublier notre banque
On vivra survivra si les Dieux nous l'accordent
un jour un écrivain saisira mon poème
en fera son roman tout s'écrit par-dessus
Je me rêvais Borges et des fois Pessoa
m’imaginais serpent dans la mue d’un boa
je pensais qu’un faux-nom feraient mes écrits vrais
mais de ce faux espoir on est resté navré
Moi j’adorais Racine et Molière et Boileau
j’étais le végétal en beaux vers à vau-l’eau
je composais pour toi le bouquet le plus beau
je me croyais géant je n’étais qu’un nabot
J’ai beau vouloir m’en faire à force de t’aimer
La peau d’homme est panthère et sa tâche est semée
dans les sillons du verbe où je me perds à l’envi
J’ai beau vouloir m’enfuir rien ne peut résumer
la Poésie ce qui compte le plus dans ma vie
je la lis je l'écris la partage et la vis
Nous ne sommes que de petits mouchards enrhumés
Pestant sur le déni de nos désirs abstrus
Tout en manifestant sur l'impossible acmé
Que nos contradictions dans l'avenir obstruent.
Parsemée d'éphélides et bleutée du regard,
à ta chair un éclair est venu s'imprégner,
sur ta lèvre en pétale il me faut le nectar
humecter, puis cueillir en mes serments pas niés.
Sans cela, le cocon dru de ma chrysalide
en tes bras qui se tisse, aura perdu le fil
où se dénouent les nœuds de mes passions invalides.
Et fixé sur Toi, tandis que les jours défilent
à ton soleil hypnotisé je me suicide
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