Dans ma nuit de silence où passe ton fantôme,
où ta beauté se perd et le fil est rompu,
de toi je désespère et n'ai plus un atome
innocent de t'aimer tout autant qu'il ait pu.
Du puits de ton regard où la source est si claire,
au fruit charnu brûlant de ta bouche idéale,
il me faut t'espérer comme on passe en éclair,
et de t'attendre aussi la patience immorale.
Il me faut te l'écrire et rêver ta réponse,
un cri désespéré dans la nuit du silence ;
il me faut recueillir un baiser que tu lances...
À ma belle héroïne, à l'amour qui m'enfonce,
à la femme idéale entourée de murailles,
1 commentaire:
C’est beau amigo !
Et puis, beaucoup d’émotions dans tes mots.
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