Le destin comme un fil est l’image qu’on tisse
il déteste l'amour et j'abhorre adorer
le désir est le fruit d'identités factices
on lui trouve un peu trop d’importance arriérée
quoi qu’il pousse un peu comme une plante adventice
on lui trouve un prétexte une excuse avariée
Le destin ce cocon que l’on défile en soie
que l’on défie parfois le coupant dans sa main
« Mektoub » on l’appelle et pourtant quoi qu’il en soit
mon idéal éphémère est un brin féminin
Je ne connais pas la fille qui m'aimerait
ni dans l'ombre de la mort un beau sourire
un instant m'interroge elle se tromperait
tant mon physique assez souvent prête à rire
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