Ton vent souffle le son d'un corps de
harpe Agon,
et ta langue leçon d'un sable
impermanent
au gré d'un havre épais renfermé
sans un gond,
la Sienne en est l'épée dans mes
mains de manant.
Si ton écharpe Agon coûte un vil
appendice
à la côte où lagons font Geffosses
commune,
je t'aurai de Blainville un câlin
lapant dix,
la cale, ô Coutainville, où l'auto
m'est immune.
Et dans l'emperlement des maisons
biscornues,
aux céans perle ment, bourgeoisie
frondemer,
il me reste ton sable entre tes plages
nues.
Puis j'ai pris sur le râble un amour
éphémère,
une bleue promenade où le cœur est
hier
et de l'algue en salade où l'Agon sert
pierres.
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