Chaque endroit de ton corps est un lieu consacré
fait de chair et de sang de tissus adipeux
c’est le champs de bonheur en mon cœur massacré
Dans ce vide enfermé pourtant je meuble un peu
mais de toi tout autour ayant le feu sacré
je compose un espace autant que je le peux
La solitude est le reflet du célibat
d’un malade imagé dont on dîne au chevet
connaître un ennemi c'est déjà du combat
je ne dirai plus rien du rêve inachevé
Quand l'amour apparaît ça dessine un éclair
une foudre en gros coup dont il va se nourrir
une illusion réelle et pourtant rien n’est clair
étreins-moi s'il te plaît sans me laisser mourir

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