La Poésie nous raconte en parlant du Monde
épris tout en entier par un flux de pensées
dans un grand tourbillon de passions furibondes
Il y a des courants de marées dépensées
calculant le marnage où le désir abonde
ou bien ces sentiments dont on s’est dispensé
Laisse ma main sur toi t'insuffler mon poème
et sa brise légère effleurer ton échine
oui parce que ce vent léger que ta peau aime
est sur toi tatoué comme à l’encre de Chine
Idéogramme en vain qu’en mots nous traduisons
nous nous retrouverons dévorés par la faim
nous ne sommes enfants que de nos trahisons
tout peut être un début quand ce n'est pas la fin

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire