vendredi 6 juin 2025

Fin



La Poésie nous raconte en parlant du Monde

épris tout en entier par un flux de pensées

dans un grand tourbillon de passions furibondes


Il y a des courants de marées dépensées

calculant le marnage où le désir abonde

ou bien ces sentiments dont on s’est dispensé


Laisse ma main sur toi t'insuffler mon poème

et sa brise légère effleurer ton échine

oui parce que ce vent léger que ta peau aime

est sur toi tatoué comme à l’encre de Chine


Idéogramme en vain qu’en mots nous traduisons

nous nous retrouverons dévorés par la faim

nous ne sommes enfants que de nos trahisons

tout peut être un début quand ce n'est pas la fin

Aucun commentaire: