J'ai bien caché dans mon cerveau ta beauté pure
rien ne dira plus rien des passions oubliées
si ce n’est l’ombre emportée loin de cette épure
Il faut sans sourciller tourner le sablier
reprendre au vrai zéro le compteur en coupure
et remettre en riant le bon vieux tablier
Je fais d'une pauvre odyssée mon beau voyage
et ton fil a guidé tant de pas qui m'éreintent
où ta paupière eut l'apparence d'un rivage
un secret m'entourait comme un grand labyrinthe
Au-delà de cela quelque en soit l’opinion
j’ai capté ton regard à la fin pour toujours
en nous l'inspiration croit comme un champignon
la nuit ne répondra qu'aux fantasmes du jour

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