J'aime ainsi paresser le long des
berges vertes
où le saule aux cheveux d'ombre
chlorophylle,
embrasse au sol les clefs d'où mes
partitions filent,
comme de mes carnets aux feuilles
recouvertes.
Le vent le fait bruisser d'un son de
tourne-page
et le marque, écornant ses rameaux
musiciens ;
la mélodie de l'onde est mêlée –
dalmatien –
d'un clapotis contraste et contraire
aux tapages.
J'y ressens l'Harmonie que souvent l'on
me nie,
les entrées en courant dont je suis la
logique
et les flux pénitents dits
généalogiques.
Puis, entre les roseaux, la toison
d'Ophélie
siphonnée par le saule et rendue dans
l'extase,
exhibe enfin le chant d'infinies métastases.
exhibe enfin le chant d'infinies métastases.
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