Je n'ai d'étroit que l'isthme où de
ton île usions
de ce méat cool pas et de ton air
frigide,
afin de tout confondre en une dilution,
ton grand sourire et tes doux baisers
rigides.
Or, si plus rien ne bouge à part ta
deutsche langue,
je voudrais composer en touchant sur
tes dents,
l'ivoire et l'alphabet sans défense et
Fritz Lang,
et Micha le Maudit te serait dépendant.
Mon temps composerait celui de tes
silences ;
Montand regarderait sortir de son
placard
les abominations de minuit moins le
quart.
Et du bonheur coupé en quatre et
bivalence,
on puiserait la source infiniment
pérenne
où larvée ta Beauté s'hexagone enfin
reine.
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