Il faut compter sur la Nature et la chérir
et la tienne est splendide et luxuriante en fait
ma vraie signature est ton merveilleux sourire
Il se conjugue au mien dans son plus-que-parfait
dans ce passé perdu cessant de dépérir
(oripeaux écorchés mais du plus bel effet)
Pourtant c’est illusoire — un mirage ambitieux —
ton image en fumée s’évapore et c’est lent
tes jolis seins ton joli corps et jolis yeux
tout disparaît tu n'es qu'un fantôme excellent
L’approche est néanmoins facile et semble innée
j’esquive en crochetant le geste un brin ringard
épousant de mon doigt la courbe de ton nez
trouvant l'espoir obscur au fond de ton regard
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