Promenade au petit matin d'été
indien,
au bord de mer, au changement de
méridien,
et promenade au petit soir d'automne en
r'tard,
sous son couchant lorsque l'étoile a
régné d'Art.
Lorsque la toile – araignée-ville –
a tissé d'or
les filaments des bateaux-ivres au
mouillage,
et l'effilée beauté dans ce château
qui dort,
puisque le bois dormant n'a jamais
compté l'âge.
Les photos forent dans le bleu ton ciel
d'azur,
et l'habitude est à l'oubli tant de
marées
que de peaux dont la plage est la belle
embrasure.
J'y vois au grain, le sable à présent
démarré
de l'isthme pur du rêve où nous ne
sommes rien,
et les fleuves remplis des mythes
sumériens.
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