Dites-moi l'entendue de ce que je fis mal
on dressera sa carte afin de la brûler
de couper tous les liens comme on castre les mâles
En chemin vers autrui je n’avais qu’un aller
mais qui vivra verrat ne sera qu’animal
un cochon s’en dédie qu’on ne peut qu’inhaler
Dites-moi le salut que l’on trouve en ces ports
où l’on balance au gré des vents contradictoires
où la parole est lourde aux sous-entendus forts
exultant à demi tout en criant victoire
Un chemin s’est ouvert au milieu de ces temps
perturbés engraissés de passions délétères
en sa douceur ta peau n'est pas neutre et pourtant
la nuit n'appartient plus qu'aux âmes solitaires
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