À force de rêver d'univers dépourvus
de cette galaxie qu'irise ton visage,
avec ce bleu sommaire où sombre le
présage
induisant toute l'encre au poème
imprévu,
J'ai bâti le plus grand des riches
bidonvilles,
assumant les rousseurs qui peuplent ta
splendeur
au gré des variations de ta libre
pudeur,
ainsi que l'on étoile un damasquin
servile,
Un tapis qui m'emporte enfin sur tes
sourcils
— deux ailes du désir — aux
hélices des cils
qui tournent sur la roue solaire de tes
yeux
azurément profonde, et ma mélancolie
piquée des quatre vers par l'immense
embolie
de ta beauté soyeuse, est un truc
audacieux.
4 commentaires:
Putain... chhhhhhhhhh... C'est le bruit, le bruit que ça fait
Le bruit de (dé)luge de mes mots sur la pente de sa beauté ?
Oui, un souffle, c'est aérien, chaud, en hauteur.
Merci Madame.
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