J'ai ta lèvre en miroir sur l'étendue
lacustre
aperçue vers Dakar au missel de l'avis
contradictoire en vain depuis les
vagues lustres
de ta beauté qu'enfin tu me voues à
la vie.
Le Rose est masculin mais ta rose est
limpide
et le lac alcalin me soude à ton image
aussi certainement qu'une alliance
insipide
entre ce qui nous ment mais qui te rend
l'hommage.
Es-tu mon continent dont je n'ai rien
connu
sinon l'impertinent mouvement de tes
hanches
imprimant sur tes flancs la beauté de
tes nues ?
Je sais l'époustouflant vertige qui
s'épanche
à force de rêver d'un repas sans menu
paraissant arriver d'un regard qui se
penche.
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