J'aime l'éclat bleuté – du grillage
aux tiges –
de l'électricité des
auto-tamponneuses,
et les courbes rompues par la
haute-voltige
et par l'habileté de ses mains
moissonneuses.
Car d'un fouet fauchant l'air à donner
le vertige,
ses mains rendent soudain l'eau douce
et poissonneuse,
et de la fluidité dont je n'ai que
vestiges,
une empreinte à ce Geste aux coulées
savonneuses.
Ainsi va-t-il souvent de ces
chorégraphies :
d'une souplesse atroce ou de raideurs
digestes,
leur expression suffit et puis ça
signifie !
On est loin des fadeurs d'un spectacle
indigeste,
on est dans l'Harmonie que l'enfant
magnifie,
dans ce que l'on transmet par la beauté
du Geste.
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