Ma parabole à tes courbes hyperboliques
au creusets de tes reins d’un sourire et tes seins
me rend ivre de toi fou d’amour alcoolique
Aussi belle en photo que tu l’es en dessin
mes versets sont pour toi ma peinture acrylique
et t’écrire en portrait le plus beau des desseins
Te caresser le dos tout en tenant tes hanches
une amoureuse est belle et se livre à toute heure
et ton corps est l’essence absolue des nuits blanches
il y a trop de vies pour en garder l'odeur
Il y a ce désir incessant sans ennui
j’imagine aussi bien tes cheveux mordorés
je n'ai plus qu'un fantasme à présent qui me nuit
rien n'atteint la beauté d'une femme adorée
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