L'imagination c'est l'océan des délires
où nous sombrons volontiers de façon spéciale
au vacarme assourdissant produit de nos lyres
Et s'aimer tant c'est notre interrogation cruciale
on s'y plonge en versifiant ce qu'on donne à lire
à la muse inspirant ces émotions spatiales
En ces derniers soleils en l'été déclinant
je me noie dans ta flaque où pourtant je m'abreuve
au reflet de l'image où sur l'eau m'inclinant
je ne m'aperçois plus je t'en donne la preuve
Il y a de grands écarts entre chaque heure entre autre
une nuit n'est qu'espace où nos rêves fleurissent
on peut être vivant d'un instant mort à l'autre
et pourtant nos sentiments jamais ne périssent
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