J'ai gardé le feu de tes tâches de rousseur
aussi précieusement que dans la préhistoire
on aurait gardé ton âme aux mains d'un guérisseur
Et célébré ton galbe en courbe ostentatoire
ô ma Vénus offerte ô ma femme ô ma sœur
à la façon d'un prêtre avec un ostensoir
En chaque pas de danse il y a ta beauté
chaque harmonie me trouble où tu es en entier
de ton sourire éblouissant ne rien ôter
t'espérer mon amie te rêver ma moitié
L'histoire est un entremêlement de promesses
abandonnées dans l'ouragan des sentiments
dans leur foisonnement comme en une kermesse
il y a néanmoins les aveux d'un amant
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