Le peuple s'ennuie-t-il qu'en un
confort bourgeois,
il se dupe en croyant bousculer
l'établi
des fondements sociaux – triste route
pour joie –
et des économies mondialisées
d'oubli ?
Les gribouilleurs virtuels se
croient-ils les Saint-Just
d'une assemblée factice à l'aune
agglutinée
des coups – loi décousue –
matraque – et moues injustes,
à l'abri d'un écran – Christ au
liquide inné ?
Puisque le cal amarre une plume dopant
l'encre
à nos doigts de faiseurs de prière et
de messe,
cessons révolutions et chants de
guerre et chancres
encadrant la question : « de
quelle seiche heure est-ce ? »
Puisons plutôt l'essence au plus
profond de nous :
nous sommes les rejets, jetons d'un
temps échu,
nous avons notre histoire en Cène à
Cotonou,
Dakar ou drakkar, patte à nos grappins
déchus.
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