J'ai peur de la Marin' de guerre
qui souffle ses boulets de suif
ainsi que « Jadis et naguère »,
avec la peur du Christ en Juif.
Ô Verlaine, ô mon crû si fier :
on empale idées à l'autel
de cervidés où crucifères
ont bel y faire à ciguës telles !
J'ai perdu ma marrain' de guerre
comme Brest a perdu Glasgow
– et la putain facho vulgaire
dans un radeau mis à l'ego – ,
de ma plume égaré les pennes
dans l'urne sordide où majeur,
je place à l'index, oh, ma peine,
mon Amour, je suis bon nageur !
J'ai peur de la Marin' de guerre
lorsqu'en volant de l'ange l'aile
droite, on voit là qu'en Heidegger,
de ces vies qu'on fit parallèles,
on a tendu – tel un Tantale –
la corde au son d'un cristal d'Arc,
qu'il n'est place à pire amygdale
qu'on opéra d'odieux Plutarque.
Tandis qu'on amarin' Daguerre
du monstrueux aréopage
qui traîne ses clichés grégaires
de ligueurs remis à la page,
dans ces résurrections étroites
vouées à l'éternel hasard,
défile – immonde – rive droite,
la bête à la garce – hein, Lazare ?
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