J'en ai bavé d'envie de ta beauté brûlante
et me suis consumé dans le feu de tes yeux
comme on consomme une absinthe et de façon lente
En pèlerin du Mont-Saint-Michel à Lisieux
j’ai marché sur la plage aux visions purulentes
où ton corps a lâché mon regard audacieux
Chaque instant dans un rêve est un brin de réel
l’estran me soutenant j’avançais sans marées
j'ai rêvé ton désir en azur irréel
l’horizon me guidant je marchais sans arrêt
Je n'ai plus rien à vivre en oubliant ton âme
un souvenir afin d’en rapporter les cris
j’ai roulé bien des fois de Bretagne à Paname
ayant plus qu'il ne faut lu maintenant j'écris
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