Lorsque l'on est baigné des rousseurs
de Septembre
et que le ciel se fond dans ses teintes
pastel,
on ne peut jamais nier le parfum de cet
ambre
où le cœur se morfond, dont langueur
décrit stèle.
Des rousseurs de ce mois dont ma tâche
– devin –
réside en de bouclées chevelures de
vers,
je m'extrais de ce « Moi »
qui m'attache à de vains
oripeaux faits de clefs pour cadenas
divers.
Si j'échappe, Tantale, au supplice et
aux chaînes,
à la roche, à la fée qui me fit un
Enfer,
j'écrirai d'un pétale une fleur sous
un chêne.
J'écrirai mes méfaits et mes tristes
affaires
en un vadémécum à l'humour de ma
vie,
lorsque va d'un mec homme, un fantôme
est envie.
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