Dieu, qu'il y en avait de la verdure au pieds
des soldats qui gisaient sous l'incessante bruine,
des pantalons garance une infortunée ruine,
du soufre la fragrance en cartouches usées.
Petits piou-piou punis enluminant l'entour,
jolies fleurs démunies de la respiration,
qu'on comptait dans les champs sans autre inspiration
que ceux d'un martial chant dont ils étaient l'atour.
Si l'alizarine est pigment de la garance,
que les prés de bleuets et de coquelicots
sont aux poilus l'effet de nos cocoricos,
que soient de l'Allemagne et de la pauvre France,
le poids d'un Charlemagne au cou de nos souffrances,
et l'ex-chapelle aimant ces sarcophages rances.
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je ne mettrai plus un énième poème sur... je ne partagerai pas une série de
textes pour... je ne dirai plus le nom de... des chicots l'ont réduit au
néant ...
Il y a 4 heures
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