tag:blogger.com,1999:blog-32061382.post3699865664941894415..comments2023-03-29T14:30:51.529+02:00Comments on Corde raide et corps de rudes: Treize orsMichel Phttp://www.blogger.com/profile/12087969682619034250noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-32061382.post-14834042344462438992008-02-26T23:13:00.000+01:002008-02-26T23:13:00.000+01:00Le sonnet de Hérédia est une pure merveille ! Mais...Le sonnet de Hérédia est une pure merveille ! Mais ton quatrain n'est pas non plus piqué des vers (si j'ose dire).Michel Phttps://www.blogger.com/profile/12087969682619034250noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-32061382.post-33835573206108458082008-02-26T15:16:00.000+01:002008-02-26T15:16:00.000+01:00Tous les chemins mènent arômesaux cent heures resp...Tous les chemins mènent arômes<BR/>aux cent heures respirants les embruns<BR/>eaux sentences des encres métronomes<BR/>car tôt graphe l'écrivain. <BR/><BR/>Je me permet cet interlude pour vous soumettre un poème d'Hérédia qui me fait encore rêver. <BR/><BR/>Comme un vol de gerfauts hors du charnier natal,<BR/>Fatigués de porter leurs misères hautaines,<BR/>De Palos de Moguer, routiers et capitaines<BR/>Partaient, ivres d’un rêve héroïque et brutal.<BR/> <BR/>Ils allaient conquérir le fabuleux métal<BR/>Que Cipango mûrit dans ses mines lointaines,<BR/>Et les vents alizés inclinaient leurs antennes<BR/>Aux bords mystérieux du monde Occidental.<BR/> <BR/>Chaque soir, espérant des lendemains épiques,<BR/>L’azur phosphorescent de la mer des Tropiques<BR/>Enchantait leur sommeil d’un mirage doré ;<BR/> <BR/>Ou penchés à l’avant des blanches caravelles,<BR/>Ils regardaient monter en un ciel ignoré<BR/>Du fond de l’Océan des étoiles nouvellesGr3nadehttps://www.blogger.com/profile/05179044480264291376noreply@blogger.com